Myomectomie et occlusion de l’artère utérine

Les pertes sanguines lors des myomectomies par cœlioscopie sont un des enjeux majeurs pour le chirurgien gynécologue. en effet, une hémostase satisfaisante ne sera souvent obtenue qu’en fin d’intervention lors de l’hystérorraphie. les pertes sanguines peropératoires nécessitent une transfusion pour les cas les plus importants, et le risque de comorbidités est majoré pour les patientes anémiques en postopératoire. la diminution de la vascularisation de l’utérus lors de l’intervention par une occlusion temporaire des artères utérines peut-elle être une solution à proposer à nos patientes ? Une occlusion exclusive et définitive des artères utérines peut-elle permettre de s’affranchir de la myomectomie ?
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